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— LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER —


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LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 20:56
Lincoln Moore

On dit de moi que je suis oublié, rejeté, pas à fréquenter.


Nom, prénom et surnom: Lincoln. Un délire de grandeur de tes vieux que t'as pas tardé à décevoir. La grandeur d'un homme sur tes frêles épaules. T'en as jamais voulu de cette comparaison. Moore. C'est un nom comme un autre, c'est le tien, même s'il n'est pas très utile dans ta situation. T'as pas de surnom. Plus depuis longtemps. Quand on t'interpelle c'est pour que tu dégages de là, alors c'est jamais tout mignon. Age, date et lieu de naissance: La vingtaine à peine, on te donnerait bien quelques années de moins avec ta peau de lait et tes yeux si innocents. T'es né loin d'ici, dans un autre état que tu as fui parce que tu as quitté une vie entière pour tenter de t'en créer une nouvelle. Le succès est loin d'être au rendez-vous.Activité et niveau d'études: Rien. Le néant des deux côtés. T'as fui avant d'avoir le moindre diplôme et on te confierait pas la moindre tâche avec l'odeur que tu dégages. Tu sais tendre la main lorsqu'il le faut. Situation financière: Au dollar près. Mais jamais de dettes. Parfois la dalle au fond de ton bide. Tu fais au mieux, tu fais selon ce qu'on te donne ou ce que tu trouves, quand c'est vraiment craignos pour toi et MonChéri. A Twadogs Hill depuis: Quelques mois, pas assez pour bien connaître quelques astuces de survies mais assez pour y être miséreux. Quartier habité: T'es pas fixe, sans abri, tu bouges souvent, au gré des infimes opportunités que tu trouves parfois. Tu bouges aussi pour ta sécurité, pour rester libre, un peu. Situation familiale: Seul maintenant. En présence non négligeable d'un chien qui te suit comme ton ombre, comme s'il respirer pour toi et avec toi. Statut civil et orientation : Déchet public, comme pourrait le dire certains hommes politique avec leurs costumes au prix de plusieurs mois de bouffes pour toi et ton chien. Et tu penses pas au reste. Ça t'a foutu dans cette merde, tu t'orientes vers personne d'autre que ta foutue survie.

Leave me alone

Ton avis à propos de la ville ?
C'est... Loin de chez moi. Moins chaud aussi et ça, c'est pas forcément la meilleure des nouvelles. Ca a l'air d'être un peu familiale comme ville, pas énorme. Les gens seront ptet différents ? Non, j'dis de la merde, ça sera la merde pour moi ici aussi, mais ça sera loin de chez moi. j'devrais même plus dire chez moi mais là-bas.
Ta réputation selon toi ?
Aucune. Le néant comme ce que je vaux pour la société. Au moins on attend rien de moi, à part que je salisse la belle image publique de la ville. J'dois être détesté par ceux qui supportent pas la misère à leur pieds, mais ça, c'est leur problème, pas le mien. J'dois faire chier le plus de gens je pense, j'donne bonne conscience à ceux qui me donnent quelques pièces. C'est aléatoire mais jamais glorieux.

le caractère

Lincoln c'est le feu. Mais ce feu éteint, submergé par une vague bien trop importante pour qu'il puisse y survivre. Alors maintenant, Lincoln c'est les cendres, celles dont on ne veut pas, qu'on ne regarde pas. Elles sont silencieuses et inutiles et pourtant, c'est d'elles que peuvent renaître le feu. Mais le feu attendra, les cendres vont se coucher et ployer.

Derrière l'écran


Pseudo: Ventricule Âge: Trente ans Mon personnage est un: inventé J'ai pensé à envoyer ma face cachée au staff: Oui Qu'est-ce que je recherche sur ce forum: Faire des rps tranquillement. autre chose ? J'ai mal aux fesses.

feat. Bjorn Winiger || crédits: unicorn (a), nawak (i)


(SMILING FACES BEAUTIFUL PLACES) On ne choisit jamais réellement sa famille. Surtout quand le plan est déjà tout fabriqué. Quand des anneaux ont été échangés, quand des promesses ont été faites à un Dieu de s'aimer dans le meilleur comme dans le pire. Quand on est pas le premier à pouvoir prétendre rendre le mot famille légitime. Lincoln est le second, celui qu'on néglige malgré l'amour qu'on se promet d'avoir. Celui qui n'est jamais à la hauteur du premier et tellement trop banal en comparaison à la petite créature que tout le monde va protéger parce qu'il fermera la marche. Trois beaux enfants, mais trois destins tellement différents. Pas de surprise à la naissance du petit, un second fils, le premier aux éloges pour faire flamboyer le nom Moore déjà si présent dans l’état du sud reconnu dans l'histoire pour son ouverture d'esprit. Belle ironie que le petit être qui hurle dans les bras de sa mère va apprendre à affronter lui-même.
(WHAT IS LIFE IF NOT A GAMBLE ?) Quelques heures avant sa naissance et déjà une belle blague. Un père qui a trop forcé sur la bière, des potes qui le narguent d'appeler son fils comme ce traitre de président que l'on force à admirer dans les classes du pays. Alors le père Moore fait un pari, il est certain d'emporter la manche et le gain qu'il convoite plus que l'avenir de son enfant. Il perd et devra se forcer à regarder sa chair et son sang porter le nom de celui qui a trahi le pays, celui qui s'est insurgé contre les confédéré. C'est le drapeau dépassé qui orne la façade des Moore à Lexington, parce qu'ils sont de ces gens qui croient encore au retour impossible, à la ségrégation et toute ces conneries que l'intelligence humaine a cru pouvoir enterrer à jamais. Et c'est après une connerie de plus de personnes plus stupides que le cul d'une vache que le petit Lincoln se voit affublé d'un prénom qui ne fera qu'accentuer la différence en comparaison de son frère et de sa future sœur.
(CHILDHOOD IS A SHORT SEASON) Rien à signaler quand les années mettent du temps à défiler et que la vie n'a rien de surprenant. Un enfant ordinaire, un peu trop introverti pour un père qui aime son éloquence exagérée. Des traditions à suivre sans se demander si elles sont bonnes ou mauvaises, des valeurs qu'on lui impose comme aux deux autres. Lincoln ne brille pas mais il n'est pas tout à fait éteint. Il est l'enfant dont on parle peu mais celui dont on ne parle pas en mal. Il se laisse vivre et se laisser dicter ses goût par une famille déjà bien encrée dans ses convictions. Croit en un Dieu sans avoir la curiosité de se demander s'il existe réellement. Il est l'enfant façonné par excellence, celui qui ne sort pas du chemin, celui qui n'étonne pas
(FAKE HISTORY FAKE GLORY) Cette fascination morbide pour une histoire qui aurait du s'écrire autrement. La famille Moore est de ces gens qui rejouent l'histoire à travers les bois de la Caroline du Sud, qui se donnent le temps de quelques jours par an, l'espoir que leur camp n'a pas perdu lors de l'affrontement final. Ils y participent tous, en tenue, avec un rôle bien déterminé à tenir. Lincoln est cet enfant que l'on envoie en éclaireur, cet enfant qui fini tué par le camp adverse parce qu'il n'a pas été assez prudent. Il n'a pas à choisir, pas à décider s'il doit continuer ces commémorations bien trop morbides. C'est comme gravé dans sa peau depuis que le destin à décider de le faire naître au sein de cette famille. Alors le petit s'intéresse à l'Histoire, mais la vraie, celle qui figure dans les livres et qui a eu la chance de réellement se dérouler. Son esprit devient même critique quand il entend le patriarche gueuler, à moitié saoule, que les confédérés auraient du l'emporter pour le bien de l'humanité, que ces saletés de noirs seraient restés à leur place au lieu de revendiquer des droits qu'ils ne devraient pas avoir. Il y a comme une faible rébellion qui commence à germer dans un petit esprit encore trop fragile pour oser s'exprimer.
(HELLO INSANITY MY OLD FRIEND) Lincoln a quatorze ans. Il s'est bien caché avec son meilleur ami, il se sait à l'abri. Et ça fait des mois que le petit jeu enivrant s'est installé entre eux, qu'ils justifient les regards un peu trop insistants et envieux du corps de l'autre parce qu'ils sont comme des frère sans le même sang qui coule dans les veines. Ils justifient aussi les rares gestes tendre que l'un vole à l'autre. C'est tellement plus facile de se dire que c'est normal ainsi, qu'il ne faut pas craindre la foudre divine du seigneur et de leurs paternels respectifs si on se rendait compte de ce qu'il se trame entre les deux cœurs en émoi. Il y a ce soir de trop, ce soir chez Henry où les adolescents se provoquent dans des jeux de guerres et de courses, où les rires envahissent la chambre soigneusement fermée à d'autres regards. Ils font toutes les conneries autorisées à cet âge, tant que ça reste raisonnable. Ils sortent même un peu pour prendre le bon air du soir, l'air frais qui claque contre les joues et réveille les muscles endormis. Ils sont trop jeunes pour dormir cette nuit alors qu'il est presque trois heures quand ils s'autorisent leurs fébriles interdits, quand leurs gestes deviennent plus doux l'un pour l'autre et que les questions restent dans les têtes plutôt que sur les lèvres. Ils veulent s'aimer mais ne le diront pas, ils souhaitent aller un peu plus loin ce soir et le feront sans jamais oser le formuler. Ce n'est plus une amitié depuis longtemps maintenant, mais elle le restera pour tout le monde pourtant, même pour eux, même pour leurs cœurs qui souffrent déjà de savoir que d'éclater au grand jour est impossible, qu'ils sont en faute parce qu'ici, il vaut mieux rester dans la norme, surtout dans leurs familles respectives. C'est l'un contre l'autre qu'ils s'endorment alors qu'un lit de camp avait été prévu pour Lincoln. Juste deux gosses qui tentent de s'apprivoiser, deux gosses qui aimeraient qu'on leur donne le droit de ne pas avoir peur.
(YOU LOOSE AT HIDE AND SEEK) L’adrénaline et le sang qui boue à l'idée de se faire prendre. Le cœur qui s'affolent lorsque les pas se font entendre au bout du couloir, quand ils croient avoir vu des billes cachées pour les observer dans leurs gestes tendres et abjectes. Ça fait quelques semaines que tout s'est accéléré entre eux, que leurs lèvres se rencontrent et apprennent à se connaître mieux que leurs regards, que leurs caresses osent de plus en plus s'aventurer dans l'intimité de l'autre. Mais il y a cette fois de trop chez Lincoln, cette impétueuse adolescence qui se croit à l'abri de tout, tellement plus forte que le royaume froid des adultes qu'ils finiront pas devenir. Le père entre sans prévenir, pour une raison complètement inutile à ce qui va se passer ensuite. Il les voit comme jamais il n'aurait du découvrir son fils dans les bras d'un autre homme, comme il aurait du le renier une dizaine d'année plus tard, l'émancipation de sa progéniture déjà établie. Mais là, il est bien trop tôt pour tout le monde et le gamin vient de se brûler à vif. Il ordonne à Henry de s'enfuir par la fenêtre, de se péter la jambe en tombant plutôt que d'affronter avec lui la fureur d'un homme qui ne veut pas d'une telle déviance sous son toit. Les coups fusent et les oiseaux continuent de gazouiller à l'extérieur. La douleur est marquée à jamais mais le monde continue de tourner quand Lincoln se réveille dans la nuit après avoir été trop cogné par son père. Et personne ne vient à son secours, pas sa mère qui se trouve aussi répugnée par son fils que son mari, qui ne frappera pas mais sera tout aussi coupable de ne pas agir. Pas son frère qui rejoint l'avis du chef, ni sa sœur bien trop jeune pour avoir la force de se liguer contre le reste de la tribu.
(WELCOME TO HELL) Les jours passent, Lincoln reste chez lui. Enfermé dans sa chambre, surveillé comme s'il venait de tuer le monde, comme s'il était cette menace qui plane sur le pays depuis des décennies et qui se réveille lentement. Il accuse encore le retour des frasques de son père, tremble quand il l'entend des pas s'approcher. Ses yeux sont explosés par la fatigue, son esprit refuse de céder à la facilité de l'endormissement. Il ne sait pas ce qu'il va pas se passer, il vient même à penser qu'on va l'emmener dans les grandes étendues vides de témoins pour lui planter une balle dans le crâne, l'enterrer comme un animal et crier à sa disparition. La paranoïa gagne un enfant qui a juste cherché à aimer en dehors des sentiers qu'on avait tracé pour lui. Il a raison de craindre le loup qui guette l'agneau, il a tellement raison mais ne le sait pas encore. Et parce qu'il a des limites, parce qu'il a toute cette humanité en lui, Lincoln finit par s'échouer sur son lit après avoir lutté contre le sommeil trop longtemps. Il ne dort pas avec tranquillité, mais juste parce que son corps le réclame. On ne lui laisse même pas l'occasion de bien se remettre que quelques heures après, quand le jour se lève à peine, quand la curiosité des voisins est encore assoupie, on le force à sortir de ces songes qu'il aurait préféré ne pas avoir. Il y a trois hommes avec son père, des hommes aux habits camouflés, comme ceux qui prennent la démocratie en otage pour aller tuer et bombarder la planète. Mais ceux là ne sont pas envoyé au front, ceux là ne peuvent se targuer d'être militaires que par leurs pratiques bien trop inadaptées au développement d'un être stable. L'autorité parentale à son paroxysme, le plein pouvoir de décider d'un avenir qui n'est même pas le sien. Le jeune adolescent est arraché à son foyer pour pire encore, envoyé dans un de ces camps dont les vidéos de présentation promettent de forger les caractères les plus récalcitrants, de faire des plus faibles des hommes comme l'Amérique réclame tant. En réalité, on va le brimer, le briser en frôlant la limite du respectable pour qu'il ne soit plus jamais ce déchet qui a tant déçu les siens. C'est une maladie mentale qui l'a touché alors on va le soigner, par l'humiliation, par le manque de sommeil, de temps, de force, d'affection.
(ESCAPE FOR YOUR LIFE) L'envie de juste céder à la facilité qui le prend. Lincoln se plie bien vite aux exigences de sa prison de l'âme, de ces barreaux que l'on forge sur son individualité. Mais il y a toujours cette lueur d'être lui, le souvenir rassurant et tellement puissant d'un Henry qui lui confiait que tout irait bien s'ils attendaient juste l'université. Lincoln ne peut se résoudre à guérir quand il ne se croit pas atteint d'une quelconque pathologie. Il obéit dans un processus de conservation, parce que son esprit lui dicte de se protéger avant de vouloir revendiquer. Il observe, fait mine de devenir fort alors que son corps crie le contraire parce qu'il n'a jamais été musclé. Il est cet élève que l'on montre aux autres en exemple, fait même croire à ses parents en visite qu'ils pourront lui faire confiance à nouveau un jour. Et c'est parce qu'il a cette force incroyable pour l'être misérable qu'on veut faire croire qu'il est, qu'il parvient à obtenir un jour pour revoir les siens, une journée sous le soleil avant de retourner dans l'ombre pour terminer son bagne. La petite porte de la cage trop solide ouverte une seconde de trop et l'oiseau fragile s'envole. Lincoln parvient à s'enfuir, il a volé un peu d'argent et il ne reviendra pas. Il prend un bus, un autre, puis un nouveau. Sans jamais regarder la destination, sans jamais hésiter et pour seule exigence que de ne jamais s'arrêter quelque part plus d'une heure ou deux.
(WHAT A WONDERFUL MISERABLE REALITY) Il traine ici et là, change d'état, se débrouille comme il peut. Il vient à peine de commencer à vivre que déjà les jours sont longs, que la misère devient de plus en plus présente. Il sait qu'il a seize ans mais Lincoln n'aura pas de gâteau avec des bougies à souffler, pas de console de jeux ni de téléphone portable pour être certain d'être dans le coup pendant et entre les cours. Son plus gros soucis, un problème qui ne devrait pas être le sien, c'est de se trouver à manger, de savoir ce qu'il fera quand la nuit sera tombée et que le froid sera encore plus persistant. Il se méfie des centres d'aide parce qu'il craint qu'on le dénonce, que son visage trop juvénile n'attire l'attention des bénévoles pensant bien faire en signalant son cas d'enfant à la rue. Lui préfère la dureté de la pauvreté et de la détresse à ce qu'il vivait auparavant. Il ne souhaite pas le moins du monde revenir en Caroline du Sud, revoir ceux qui ont chercher à le formater plutôt qu'à le comprendre. Il n'a qu'une seule vraie peur, celle d'être retrouvée un jour, celle d'être cherché par ceux qui ne voulaient même plus de lui à la base. Alors il se fait discret, il peine mais arrive à survivre en apprenant à au jour le jour, en se heurtant à la cruauté de ce monde trop égoïste. Il vole, il ment, il se joue des autres et on se joue de lui. Lincoln ne compte que sur lui-même et cette solitude est sans doute ce qu'il y a de pire dans son rude quotidien.
(BIG SOUL IN DOG'S EYES) Une rencontre singulière. Lincoln croise la route d'un chien qui semble aussi paumé que lui, aussi sale et seul. C'est lui qui avance la première patte quand il vient chercher sa chaleur un soir, quand il doit se dire qu'il ne peut rien craindre d'un humain qui vit à même le sol, dans des cartons humides qui lui servent aussi de literie. Lincoln l'adopte tout de suite tout autant qu'il se fait adopter. Le lien est fort parce qu'ils n'ont que l'un et l'autre, parce qu'ils sont contre le reste du monde. Il l'appelle MonChéri parce qu'il représente tant de douceur dans ce qu'il vit au jour le jour. Il sent mauvais, ronfle quand il s'endort contre lui et bave aussi. Pourtant, MonChéri est le seul capable d'approcher Lincoln sans qu'il ne craigne quelque chose de néfaste. Les deux ne se quittent plus et même si vivre avec un chien, quand on a rien, est encore plus compliqué, le jeune homme ne pourra jamais s'en séparer, jamais lui dire qu'il puisse être de trop.





Dernière édition par Lincoln Moore le Jeu 19 Mar - 17:40, édité 18 fois
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Cody Newman
admin — le Trump du codage
Cody Newman
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 20:57
Le plus grand des casse-couilles enfin dans la place haww
C'est ma manière de te montrer mon amour, t'as pas dit que ça devait comporter des coeurs NIARK

Mais tu sais au fond de moi qu'il y a des coeurs entre les lignes igor

Bienvenue !
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Jared Ortiz
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Jared Ortiz
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 21:02
je suis presque émue


i want war, but i need peace.
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 21:10
bienvenue plop
hâte de voir ce que ton personnage va nous réserver!!

Quand t'es un tea. Quand t'es un tea. Quand t'es un tea.
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 21:10
omg, j'adore déjà le début de ta fiche,
j'ai besoin d'en savoir plus !
plein d'amour,
bienvenue à toi plop
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Invité
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 21:13
Je suis fan, déjà potté
Bienvenue ici bo-t mow
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 21:14
Bienvenue ici, j'suis curieuse de lire ce que tu as en tête pour ce perso qui promet keur keur
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Invité
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 22:14
le petit mec siffle
bienvenue chez toi petit homme keur
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Mer 18 Mar - 22:32
alors la! j'adore ton début de fiche et j'adore le personnage que tu dégages!
bonne chance pour la suite,
et bienvenue!
keur keur keur
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Jeu 19 Mar - 4:36
bievenuuuuuuuue. plop plop plop
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Primrose Steele
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Primrose Steele
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Jeu 19 Mar - 8:29
Mais qui voilà igor igor
La mauvaise graine du Parking est de retour ?
Ca fait plaisir baby, bienvenue !
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Ruby Eakin
elle mord, elle mord, la vipère !
Ruby Eakin
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Jeu 19 Mar - 9:47
ce regard cry et ces mots cry cry
bienvenue par ici, t'es beau, j'veux en savoir plus luv



☆☆☆ You are so brave and quiet i forget you are suffering.
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Invité
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Jeu 19 Mar - 15:38
Hellooooo !!
Bienvenue sur le forum hehe
Bonne chance pour ta fichette luv
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Jeu 19 Mar - 22:39
Merci à tous ! plop
J'ai fini, j'espère avoir tout bien fait pour vous taxer du fric. Surprised
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Cody Newman
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
Jeu 19 Mar - 23:29
Tu es validé(e)

Bienvenue à Twadogs Hill !

T'as fini de me secouer, oui ?
Tu l'as dit, je la connais son histoire à Lincoln, mais fuck la relire me fait toujours mal au coeur pour ce gosse qui était à ça de vivre sa meilleure vie ! Et tu le sais, j'adore ta manière brute et sans détour de balancer la réalité, sans l'enjoliver ni la fantasmer. Bref, j'espère que tu vas t'éclater à dépoussiérer Lin !


Bienvenue officiellement sur American Hologram !
Te voilà désormais prêt.e à vivre comme un authentique américain de l'Idaho ! Avant de te lancer pleinement dans l'aventure, pense néanmoins à bien remplir ton profil (sans oublier d'activer ta fiche Role-play) et surtout, t'inscrire dans les listings du forum.
A présent, il ne te restera plus qu'à te faire de nouveaux amis et te lancer dans le grand bain ! D'ailleurs, si tu es un vrai, c'est direct un RP libre que tu vas lancer, non ?

Si tu as besoin de quoique ce soit, le staff est là pour toi ! plop
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Re: LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
   
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LINCOLN MOORE || BJORN WINIGER
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