Le deal à ne pas rater :
Display Star Wars Unlimited Ombres de la Galaxie : où l’acheter ?
Voir le deal

Partagez
 

 
— drague à l'envers (swann) —


Aller en bas 
Jared Ortiz
admin — les doigts de fée tmtc
Jared Ortiz
| quartier : west side. Belle image cache la crasse misère des visages.
| activity : Âme égarée au lycée, de celles qui se laissent lentement couler (pourtant tu aurais pu toucher les étoiles, briller comme elles... Tu aurais pu avoir une destinée belle). Jared, surdoué aux rêves abandonnés, pauvre gamin écorché.
| crush : amoureux de tous les yeux (mais fidèle à aucun d'eux).
| crédits : ma mariée, gypsophile, lélu 2 mon keur. (a)
| couleur : celle de ton keur bae.

| messages : 4812
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t120-jared-ortizhttps://american-hologram.forumactif.com/t114-jared-ortiz-joland-novajhttps://american-hologram.forumactif.com/t135-jared-a-fleur-de-peau
Message
drague à l'envers (swann)
   
Sam 7 Mar - 0:49

adolescence insolente,
sur ses grands airs,
de son âge, elle est prisonnière.
☾☾☾
( poème improvisé, de moi )

drague à l'envers (swann) Ua75Xmj7_o drague à l'envers (swann) OvsRyzWn_o
( @ Solsken )


Tout t’étouffe.
Le bruit, les gens. L’agitation. (ce soir la cervelle ne veut pas coopérer - ce soir elle est cassée,
l’a du mal à redémarrer).
Sur les gradins, ton père encourage. Ta mère photographie.
Toute cette soudaine vie ici.
Tu te sens bien entre eux deux (entre leur amour - gamin chanceux,
d’avoir deux parents pour toujours).
Tu souris à l’objectif mais bien vite,
l’envie se précipite
« J’peux aller prendre l’air ? », tu sens les émotions délétères. « Bien sûr mon cœur mais ne t’éloigne pas trop d’accord ? Et pas longtemps »,
tu embrasses sa joue,
celle de ton père. (tu pourrais le serrer entre tes bras,
ton papa.
Mais il est tant heureux ce soir, prêt à gueuler, crier, embrasser sa femme au premier point marqué.
Tu ne veux pas gâcher sa soirée. (complexe bancal
qui s’enlise lorsque le cerveau fait mal).
Tu marches vers la sortie, seul,
l’errance inscrite sur la gueule.

Puis, faut que la cervelle tombe dans les conneries,
les envies capricieuses (de faire comme les grands) de faire le délinquant,
l’insolent.
Objectif à atteindre.
Tu partiras pas de là sans une bière,
et tant pis si tu dois mener la guerre (contre ton âge,
contre ces images
de l’adolescence innocence.
toi, tu préfères l’arrogance.
« Une bière s’il vous plait », tu te présentes sans carte d’identité (joli sourire,
prunelles malicieuses,
réalité ennuyeuse : « t’es trop jeune petit. »
(ouais, c’est toujours ce qu’on me dit.
Trop jeune, petit.
Vulnérable, fragile.
Vous aimez bien m’enfermer dans cette image futile
).

Colère dans les veines.
Cervelle fébrile.

« C’est juste une bière » que tu lâches (les mots déjà agacés et tu veux tout faire exploser
pour la lui voler la bouteille,
et puis partir dans la nuit, comme noyé par la vie - prendre la fuite comme le fait l’a d o l e s c e n c e,
face à vous, face aux responsabilités.
Parce que c’est cela la jeunesse aussi,
se prendre pour des grands pour mieux se noyer,
s’amuser, faire des conneries (parce que pour cela au moins,
on est jamais trop petit).
« J’t’en donnerai pas, ça serres à rien de rester là »,
mais tu bouges pas.
« J’le dirais pas, j’promets ! »
(enfant veut pas lâcher l’affaire -
donne-moi cette putain de bière.)


Dernière édition par Jared Ortiz le Dim 15 Mar - 10:07, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Swann Fowler
de Swann, on est tous fan
Swann Fowler
| quartier : green coral ranch dans la partie sud, tu préfères squatter en ville quand t'arrives à gratter un canapé.
| activity : stagiaire pistonné au sein d'un cabinet d'avocats, tu bosses à mi-temps au café de l'autre commère pour "apprendre la valeur de l'argent". connerie.
| crush : tous les pauvres cons qui s'noient dans tes pupilles océan.
| crédits : riveuredamour, codychou.
drague à l'envers (swann) 82Y7b
| messages : 3748
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t237-swann-fowlerhttps://american-hologram.forumactif.com/t221-swann-fowler-simon-loofhttps://american-hologram.forumactif.com/t253-swann-fucker
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Sam 7 Mar - 20:31
JARED
&
SWANN
C'EST LUI QUI, LE PREMIER DEGUISANT SA MALICE, D'UN SEMBLANT DE VERTU SUT HABILLER LE VICE.
le suspense mort, dénouement du match prévisible. la soif qui assèche ta trachée est plus puissante que ton intérêt pour les lames des patins qui lacèrent la glace. le sms à ton frère pour l'informer du déroulement de la soirée, tu relèves le nez juste à temps pour assister au petit numéro d'un adolescent particulièrement insistant. il lâche pas l'morceau, supplie pour décrocher le graal, tremper ses lèvres dans le breuvage alcoolisé. rictus amusé qui prend possession de tes lèvres alors que son visage s'incline légèrement vers toi. subitement, t'interromps ta progression.
l'azur reste figé sur les traits que tu détailles, la gueule aperçue des dizaines de fois dans le journal local, l'écran de ton iphone, à la télévision.
jared le gosse. jared l'innocent. jared le martyr.
le môme qui a généré les émotions les plus vives, l'effroi des adultes, les pleurs de ses parents. qui a tenu l'arme de la justice entre ses mains fébriles sans renoncer, appuyé sur la détente, implacable. ruiné la réputation de son bourreau, à jamais.
mais toi swann, t'as pas cru une seconde à ses p'tit yeux larmoyants de fumier, à ses déclarations sur l'honneur, à ses mimiques d'enfant d'chœur. t'es bien placé pour reconnaître le mensonge, la manipulation, la victimisation. toi aussi t'as été un gamin de quinze ans, excité par la fièvre de faire tomber plus vieux, plus expérimenté. toi aussi tu t'es servi de tes battements d'cils d'adolescent pré-pubère, de l'innocence feinte, pour combler l'obsession d'un instant. toi aussi, t'as aimé trop fort, trop mal. t'as laissé des bras t'étreindre en prétextant la majorité, carte d'identité bidonnée pour convaincre.
à sa promesse futile, tu reprends la marche. tu feins de l'ignorer swann, quand tu t'accoudes brusquement au comptoir de la buvette, étire tes lèvres pour saluer le serveur.
hey benny. tu m'sers deux bières s'teuplé ? tu commandes, mettant un terme à son caprice d'enfant. tu l'regardes toujours pas swann, quand tu t'adresses à lui.
impatient d'goûter aux plaisirs des grands ? les mots lourds de sens qui traversent tes lippes, s'échouent innocemment à son oreille. tu lui parles volontairement comme à un gamin swann, l'orgueil gonflé par les huit années qui vous séparent et les privilèges que ça te garantit.
les g r a n d s. les autres que lui, qui reste p e t i t.
petit prince, petit con, petit égoïste.
tu cherches volontairement à susciter l'agacement. la frustration.
ton visage qui se tourne finalement, les pupilles qui s'entrechoquent. il est beau jared, avec ses grands yeux d'innocent. t'aurais pu tomber dans l'panneau toi aussi, t'aurais pu te faire bien niquer.


CODAGE PAR AMIANTE


Dernière édition par Swann Fowler le Ven 20 Mar - 23:57, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Jared Ortiz
admin — les doigts de fée tmtc
Jared Ortiz
| quartier : west side. Belle image cache la crasse misère des visages.
| activity : Âme égarée au lycée, de celles qui se laissent lentement couler (pourtant tu aurais pu toucher les étoiles, briller comme elles... Tu aurais pu avoir une destinée belle). Jared, surdoué aux rêves abandonnés, pauvre gamin écorché.
| crush : amoureux de tous les yeux (mais fidèle à aucun d'eux).
| crédits : ma mariée, gypsophile, lélu 2 mon keur. (a)
| couleur : celle de ton keur bae.

| messages : 4812
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t120-jared-ortizhttps://american-hologram.forumactif.com/t114-jared-ortiz-joland-novajhttps://american-hologram.forumactif.com/t135-jared-a-fleur-de-peau
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Lun 16 Mar - 12:14

adolescence insolente,
sur ses grands airs,
de son âge, elle est prisonnière.
☾☾☾
( poème improvisé, de moi )

drague à l'envers (swann) Ua75Xmj7_o drague à l'envers (swann) OvsRyzWn_o
( @ Solsken )


Envie de partir.
Découvrir (encore) les alcoolisés pour rire jusqu’à l’excès (en priant pour ne pas pleurer). Cervelle un peu (t r o p) bancale lorsque tu fais le môme, le gamin rebelle.
Lorsque tu veux tremper tes lèvres dans l’interdit (toujours le gout pour ces conneries - toucher, dévorer, ce qui rend prisonnier). Cervelle trop bancal lorsque tu repenses à la drogue la plus délectable.
Cody parti, maintenant les veines en manque,
le cœur affamé (la cervelle disjonctée).
Rien qu’une bière pour en voler des milliers,
rien qu’une bière pour tenter de respirer.

Adulte maudit veut pas te laisser pourrir, veut pas céder à ton caprice (vouloir mourir).
Vous m’emmerdez vous et vos règles.
Comme si je n’avais que ça à faire (vous écoutez juger ma misère),
mais bientôt je serai comme vous,
vieux et ennuyant, plus de sourire sur les joues,
seul et encombrant, le genre dont la société n’a que faire.
Comme toi, finalement. Comme vous. Qui tente de ne pas voir cette réalité précaire.


Toi, tu veux boire, embrasser, crier, tomber,
avant de regarder derrière et mourir de regrets.
Rien ne marche. Lorsqu’il refuse une dernière fois, que tu soupires, regardes l’espace (cœur se déchire face aux étoiles - rêve de gamin prend soudain la place,
« papa, quand je serai plus grand
tu me fabriqueras une fusée pour que je monte dedans ! »
).
Tu avales ta salive, lorsque tu réalises : je l’ai sûrement déçu.
Papa ne dit rien mais papa n’espère plus.
Tu promets de ne rien dire (t’es fort pour cela - cacher les erreurs des neurones,
cacher le fait que tout se casse la gueule).
Et l’homme n’a pas le temps de prononcer les mêmes mots car un chevalier étranger vient te sauver. (qui est-ce ?)
Tu le regardes alors qu’il commande deux bières,
voix calme, regard fuyant dans la guerre.
(il se refuse à te regarder lorsque toi tu te mets silencieusement à l’observer -
l’inconnu est beau. Le genre qui pourrait te faire chavirer.
L’inconnu est un adulte, le genre pas encore mort,
ton regard dessine les reliefs de son corps).
« impatient d'goûter aux plaisirs des grands ? », tu reposes tes yeux sur son visage,
il te parle comme le gamin que tu es, comme si lui était sage. (pas besoin de ces airs, tu sais,
l’arrogance et l’immaturité n’a pas d’âge, preuve en est,
tu me cherches, espoir désespéré de me trouver
).
Tu souris. De toute l'insolence des p e t i t s.
« J’vais te partager un secret : j’y ai déjà gouté » parait-il que l’alcool ne s’arrête pas aux interdictions,
que même les petits y plongent pour faire comme les g r a n d s,
les grands qui se noient.
Tu l’observes même lorsqu’il se tourne enfin vers toi (il t’en a fallu du courage, je crois ?).
Ce sont de très beaux yeux qui rencontrent les tiens.
« Les grands invitent les petits à ce que je vois », insolence dans la voix.
Envie soudaine de lui parler pendant des heures (son arrogance qui plait à la tienne -
tu attends sagement qu’il te tende une des bières,
et puis tu t’enticheras de vos dialogues précaires
même lorsque l'insolence se transformera en colère).
Revenir en haut Aller en bas
Swann Fowler
de Swann, on est tous fan
Swann Fowler
| quartier : green coral ranch dans la partie sud, tu préfères squatter en ville quand t'arrives à gratter un canapé.
| activity : stagiaire pistonné au sein d'un cabinet d'avocats, tu bosses à mi-temps au café de l'autre commère pour "apprendre la valeur de l'argent". connerie.
| crush : tous les pauvres cons qui s'noient dans tes pupilles océan.
| crédits : riveuredamour, codychou.
drague à l'envers (swann) 82Y7b
| messages : 3748
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t237-swann-fowlerhttps://american-hologram.forumactif.com/t221-swann-fowler-simon-loofhttps://american-hologram.forumactif.com/t253-swann-fucker
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Mar 17 Mar - 20:38
JARED
&
SWANN
C'EST LUI QUI, LE PREMIER DEGUISANT SA MALICE, D'UN SEMBLANT DE VERTU SUT HABILLER LE VICE.

confie-moi tes secrets gamin, j'veux tous les connaître.
« J’vais te partager un secret : j’y ai déjà gouté »
la révélation suscite un frisson. tu n’sais pas bien si c’est la nausée de l’imaginer dans les bras de cody, ou l’excitation d’envisager que ça pourrait être les tiens.
parce que swann, t’y perçois une allusion masquée. mais c’est peut-être juste toi, toi et tes idées qui s’égarent. l’obsession de mettre à jour sa nature aguicheuse, déceler les indices qui conforteraient tes convictions. pouvoir dire : je le savais.
pourtant t'as du mal à croire que cette gueule d'ange puisse chercher à s'brûler si facilement, volontairement. l'adolescent arraché de l'enfance, était-il vraiment consentant ?
t'as les doutes qui commencent à éroder tes certitudes, la preuve glissée au fond d'la poche que cody, n'est peut-être pas l’innocent que t'imaginais. l'abruti qui continue de s'faire sucer par des gamins, des foutus mineurs aux limites imprécises. ça t'fait douter swann, sur les rôles de chacun dans le drame inachevé. t'as presque envie de brandir l'iphone pour guetter sa réaction, réprimes l'envie d'un claquement de langue contre le palais.
et quand ton bleu plonge dans ses pupilles effrontées, tu doutes encore.
cette putain d'assurance, l'impertinence du comportement qui séduit. jared, il semble détaché et intéressé en même temps. désinvolte mais désespéré. prêt à s'cramer mais à t'lâcher juste après.
te murmurer de l'suivre jusqu'en enfer, et t'y abandonner comme un crevard.

jared, t'es l'bourreau ou la victime ?
jared, t'es le loup ou l'agneau ?
jared, t'as dit oui ou t'as dit pourquoi pas ?
jared, t'es soulagé ou bourré d'regrets ?


peut-être qu'au fond, c'est juste un gamin incapable d'aimer comme cody, qui s'est mis à paniquer. parce que cody, il est intense parfois. jamais assez pour toi, mais beaucoup trop pour la plupart.
va falloir l'encourager swann, à se dévoiler davantage. l'air de rien, l'air de ne pas y toucher. redoubler d'efforts, ne pas se laisser emporter. ne pas se laisser griser par son regard entêtant, ses mimiques délicieuses, ses lèvres attrayantes. rester F O C U S.
le sourire se dessine alors qu'il réclame l'une des bières que benny t'apporte. tu tends le billet par dessus le comptoir, récupères la monnaie que tu glisses dans ton blouson. la silhouette qui s'éloigne pour aller servir un autre client. ah parce que t'as cru que ... ? tu t'moques swann, de ce qu'il pensait être une évidence. j'ai très soif. l'explication bancale, qui justifie ta commande excessive. le désir de t'enivrer, c'est toujours plus sage quand ça coule dans tes veines.
tu lui dénies l'accès swann, à l'alcool tant désiré, attrapes les deux verres en plastique entre tes mains. t'es pas très au point sur ta technique quand il s'agit d'braver les interdictions. tu piques, le bouscules, provoques presque pour l'inciter à te démontrer l'inverse. ton bras se lève, tes lippes trempent dans le breuvage doré. tu nargues swann, la langue qui vient essuyer le bord des lèvres.
et tu t'écartes de l'adolescent, t'éloignes de quelques pas pour te poser contre la rambarde près de la buvette.
espérant que l'poisson va mordre à l'hameçon.

CODAGE PAR AMIANTE


Please don’t expect me to always be good and kind and loving. There are times when I will be cold and thoughtless and hard to understand.


Dernière édition par Swann Fowler le Ven 20 Mar - 23:57, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Jared Ortiz
admin — les doigts de fée tmtc
Jared Ortiz
| quartier : west side. Belle image cache la crasse misère des visages.
| activity : Âme égarée au lycée, de celles qui se laissent lentement couler (pourtant tu aurais pu toucher les étoiles, briller comme elles... Tu aurais pu avoir une destinée belle). Jared, surdoué aux rêves abandonnés, pauvre gamin écorché.
| crush : amoureux de tous les yeux (mais fidèle à aucun d'eux).
| crédits : ma mariée, gypsophile, lélu 2 mon keur. (a)
| couleur : celle de ton keur bae.

| messages : 4812
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t120-jared-ortizhttps://american-hologram.forumactif.com/t114-jared-ortiz-joland-novajhttps://american-hologram.forumactif.com/t135-jared-a-fleur-de-peau
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Mar 17 Mar - 23:09

adolescence insolente,
sur ses grands airs,
de son âge, elle est prisonnière.
☾☾☾
( poème improvisé, de moi )

drague à l'envers (swann) Ua75Xmj7_o drague à l'envers (swann) OvsRyzWn_o
( @ Solsken )


Distraction trouvée, regardée, d é v o r é e. (pour ne pas penser - surtout pas à Cody)
L’homme se présente à toi, vos corps presque si prêts (il suffirait d’un pas),
tu l’observes se complaire dans toute sa  m a t u r i t é (adulte, c’est cela).
Adulte.
Tu lui parles en prétendant être grand, jouant pourtant l’enfant (les paroles insolentes,
sous-entendus, pensées turbulentes).
Tu l’observes sans t’arrêter (regard perturbateur -
t’as la cervelle arrogante, sans aucune peur).
Détermination dans les prunelles,
attirance comme une étincelle.

Le cœur est conquérant lorsque vos regards se croisent (puis-je te dire que la couleur de tes yeux,
pourrait me faire tomber amoureux ?
)
Pourtant pas l’envie de jouer les chevaliers, les romantiques rouillés. Non, lorsque tu captures son regard, tu veux qu’il se dise : quel insolent.
Quel insolent pour le regarder de cette manière,
qu'il en soit même troublé, b o u s c u l é.
Voix assurée pour paraitre charmant (la cervelle qui n’a pas froid, que ne tremble pas
devant les a d u l t e s, les adultes qui ne lui résistent parfois pas).
(Sûrement que ma plus grande victoire sera d’avoir violer les âges.
Oui, graver mon passage sur vos visages - et peu importe si c'est l'attirance ou l'outrage.
)
Le cœur un peu trop gros lorsqu’il s’agit d’aimer, de s’enticher de nouvelles beautés (la cervelle un peu trop affamée lorsqu’il s’agit de s’inscrire sur la peau des autres,
l’intérieure de leurs côtes.
Toujours le manque inassouvi d’être désirer)(toujours plus, toujours plus fort).
Alors les mots ne laissent pas de doute,
(invite-moi, au fond tu le veux bien.
Sinon tu ne serais pas là,
pas là à te moquer
).

Il te chercher, te t a q u i n e et tu arques un sourcil, intrigué par son jeu,
« j'ai très soif. » qui te fait plisser les yeux (je n’en doute pas, mon cher),
bien sûr, tu te gardes tes commentaires.
Il prend les deux verres et se laisse aller à quelques secondes d’insolence (ton cœur qui vibre - cervelle veut le bouffer,
distraction dès plus intéressante,
tu te laisses aller à sa mélodie intrigante).
« Qui te dit que j’attendais pas un homme de ton genre pour me faciliter la chose ? », tu le cherches (on sera deux à jouer,
j’espère que tu es prêt
).
Tu lui donnes ton sourire (ce sourire qui énerve ou qui attire - couvert d’arrogance).
Il boit devant tes yeux, te nargue (les gestes malicieux).
L’homme se lèche la lèvre et tu ne te défiles pas,
tu l’observes. (c’est ce que tu cherches, n’est-ce pas ?)
Ton sourire s’agrandit lorsqu’il s’écarte (pas si loin - tu entends le nombre de pas),
tu te mords la lèvre (le cervelle irraisonnable, joueuse),
tu prends une inspiration et les pas le suivent (indifférent -
le corps ne le quitte pas et pourtant tu as le visage nonchalant).
Ambivalence des expressions
pour attirer les questions.

« Personne pour t’accompagner on dirait. »
(tu es seul, ce qui est toujours une bonne nouvelle.
Je le vois, tu sais, cette lueur dans tes prunelles
).
L’adulte voulait sûrement que tu faces ces quelques pas vers lui,
toi, tu as appris qu’il faut parfois sacrifier quelques pions,
alors tu restes face à lui (avec un air d’affront).

le cœur un peu trop accro au jeu (illégaux ?)
faible lorsque les hommes sont si beaux.


Dernière édition par Jared Ortiz le Sam 21 Mar - 9:54, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Swann Fowler
de Swann, on est tous fan
Swann Fowler
| quartier : green coral ranch dans la partie sud, tu préfères squatter en ville quand t'arrives à gratter un canapé.
| activity : stagiaire pistonné au sein d'un cabinet d'avocats, tu bosses à mi-temps au café de l'autre commère pour "apprendre la valeur de l'argent". connerie.
| crush : tous les pauvres cons qui s'noient dans tes pupilles océan.
| crédits : riveuredamour, codychou.
drague à l'envers (swann) 82Y7b
| messages : 3748
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t237-swann-fowlerhttps://american-hologram.forumactif.com/t221-swann-fowler-simon-loofhttps://american-hologram.forumactif.com/t253-swann-fucker
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Mer 18 Mar - 21:10
JARED
&
SWANN
C'EST LUI QUI, LE PREMIER DEGUISANT SA MALICE, D'UN SEMBLANT DE VERTU SUT HABILLER LE VICE.

un homme dans ton genre. c'est quoi, précisément jared ? tu t'demandes s'il a perçu la faille, la faiblesse, l'intérêt à travers la pupille. parce qu'il semble croire que t o i, t'accéderas à son caprice, que t o i, tu lui permettras de braver l'interdiction.
et tu te délectes de cette sensation de maîtrise, alors qu'au fond l'exercice est périlleux. t'as pas tout à fait conscience que tu t'engages sur un fil tendu trop haut, dont la chute pourrait être funeste. que la moindre respiration soufflée trop près de toi risque de rompre l'équilibre précaire. deux esprits trop confiants qui se défient.
parce qu'il joue aussi, jared, t'en es presque convaincu. les mots sont trop soigneusement choisis, les expressions trop étudiées. il t'offre son sourire parce qu'il sait, l'effet que ça produit. féconde la convoitise pour espérer en récolter les fruits. ce sourire que t'as envie de cueillir, d'arracher, de dévorer. ce sourire qui en a perdu d'autres avant toi, cody parmi les victimes déclarées.
et pour poursuivre l'amusement sans trop risquer, tu sais que tu dois t'éloigner. quelques pas seulement pour briser l'emprise, prendre le contrôle de la partie. engloutir ses pions pour avancer sur l'échiquier, la stratégie déployée.
le gamin refuse d'abandonner, obstiné, établit un constat qu'il suppose vrai. tu es seul swann, adossé à la rambarde. il essaie, tâtonne pour espérer t'impressionner. parce que si tu es seul, il peut bien s'installer, combler l'absence. tu n'as pas grand chose à faire pour qu'il brille à côté d'toi, simplement céder à ses enfantillages.
c'est pas très compliqué swann, t'as juste à te laisser entraîner par le chant doucereux de la sirène.
il est en retard. tu répliques, d'un haussement d'épaules désinvolte, suggérant que le nectar tant convoité a été acheté pour un autre. le verre de trop qui se pose sur le comptoir qui entoure la buvette, comme pour souligner tes paroles.
pourtant ta main libre se tend vers lui, les doigts qui glissent sur la peau de son poignet, se resserrent fermement. os fragile que tu pourrais presque ébrécher. tu tires son bras vers toi, l'approches du verre demeuré dans ta main jusqu'à ce qu'il puisse le toucher, t'en déposséder. tu n'lâches pas immédiatement swann, le contact maintenu trop longtemps.
tes parents vont pas s'inquiéter ? l'interrogation qui pourrait sembler moqueuse, mais qui vise en réalité à t'renseigner sur les potentielles difficultés. t'as pas envie que les darons du mioche débarquent à l'improviste et te trouvent si près, à nourrir le fiston adoré de l'alcool prohibé.

CODAGE PAR AMIANTE


Please don’t expect me to always be good and kind and loving. There are times when I will be cold and thoughtless and hard to understand.


Dernière édition par Swann Fowler le Ven 20 Mar - 23:55, édité 1 fois
Revenir en haut Aller en bas
Jared Ortiz
admin — les doigts de fée tmtc
Jared Ortiz
| quartier : west side. Belle image cache la crasse misère des visages.
| activity : Âme égarée au lycée, de celles qui se laissent lentement couler (pourtant tu aurais pu toucher les étoiles, briller comme elles... Tu aurais pu avoir une destinée belle). Jared, surdoué aux rêves abandonnés, pauvre gamin écorché.
| crush : amoureux de tous les yeux (mais fidèle à aucun d'eux).
| crédits : ma mariée, gypsophile, lélu 2 mon keur. (a)
| couleur : celle de ton keur bae.

| messages : 4812
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t120-jared-ortizhttps://american-hologram.forumactif.com/t114-jared-ortiz-joland-novajhttps://american-hologram.forumactif.com/t135-jared-a-fleur-de-peau
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Ven 20 Mar - 21:41

adolescence insolente,
sur ses grands airs,
de son âge, elle est prisonnière.
☾☾☾
( poème improvisé, de moi )

drague à l'envers (swann) Ua75Xmj7_o drague à l'envers (swann) OvsRyzWn_o
( @ Solsken )


Pas de grande littérature pourtant la prétention vilaine,
de le chambouler (sentir les frissons jusque dans ses veines).
Les mots choisis, c a l c u l é s par un instinct (qui ne cesse de le d é t a i l l e r),
sans trop savoir ce qu’il se laisse à penser (vouloir te connaître jusqu’au moindre détail pour peut-être te briser ?).
Pourtant tu restes dans toute ton assurance,
malgré ses quelques coups d’avance.
Tu as l’esprit optimiste ce soir (aucune envie de disparaitre dans le noir), et aux mots, s’ajoutent tes sourires, s’ajoute ton regard (les lèvre angéliques et les yeux connards). Amour inconditionné lorsqu’il faut jouer, passion de battant, détermination de gagnant.
Et les corps se délient, il s’éloigne (peut-être a-t-il eu peur ? - drogue empoisonne déjà le cœur). Recule-toi, je t’en prie, je te suis. Je n’ai pas peur de ce genre de stratégie,
qui se veut calculée, professionnelle,
en réalité, elle n’est que frêle.


Le cœur s’entiche si vite (avide),
les pions meurent (rapide).
Mais tu restes là. Droit. Face à lui. Le regard qui ne s’habille d’aucune crainte.
(il n’y a qu’une envie terrible de lui parler - à peine feinte).
Envie terrible de le faire succomber (si beau défi -
car l’homme s’arme du même mépris (celui un peu confiant, un peu insolent)).
Séduction pétillante dans tes prunelles,
tu déplores sa solitude (que tu veux bien combler de ton arrogante attitude).
« il est en retard. », tu détournes ton regard (pourtant le sourire qui ne part pas - accroché,
audacieux, orgueilleux).
Il est en retard… Finalement, tu ricanes d’un rire léger (joie angélique - cœur maléfique). Tu poses tes yeux sur ce verre qu'il met en évidence, comme un trophée qui ne t’est pas destiné (quelle i n s o l e n c e). Pourtant il plait toujours à ton cœur,
intrigué, l’homme parle ton langage,
la malice sur le visage.
Soudain, il te prend le poignet pour te faire avancer (quelques pas mordus et tu pourrais embrasser sa beauté). Un verre vous sépare et tu pourrais te mettre à frissonner sous son regard, chanceler (si tu n’étais pas borné).
Cœur têtu, cervelle excitée.
L’homme ne veut pas lâcher ton poignet et toi tu ne cherches pas à t’en libérer. Tes yeux clairs (bourré d’une immaturité insolente) fixe le verre, et le fixe lui.
Proximité rend les yeux plus intenses (et charge de langage tes silences).
Les doigts ne viennent pas encore voler le verre,
tu lèves la tête vers la sienne, l’air fier.
A ses mots, la commissure de tes lèvres se lève, tes yeux se voilent d’une autre malice.
(quel importance, mon cher ?

Tu as peur ?)

« Je pense que celui qui va s’inquiéter c'est ce retardataire qui va surprendre cette soudaine proximité », question évitée (jeu bien trop connu - l’adulte n'est pas le premier). « J’espère qu’il est pas très jaloux… », bouche en cœur après la syllabe, les yeux joueurs se noient dans son regard (ou l'engloutissent ?).
Mot donné : p r o x i m i t é car j'ai remarqué
que nommer les choses semblent te déstabiliser ?

Et tes doigts agrippent son verre (les siens qui ne luttent pas - vicieuse guerre),
tu l’apportes à tes lèvres (la discussion dans les prunelles -
la tentation dans tes gestes lents).
Et tu fais l’insolent.
Lorsque tu lui redonnes son verre, que tu lèches ta lèvre inférieure,
(jeu dangereux qui grignote le cœur - jeu similaire)
Tu avances tes pions. Et tu lui souris
petit con.
(À ton tour, je crois -
protège tout de même ton roi.
)
Revenir en haut Aller en bas
Swann Fowler
de Swann, on est tous fan
Swann Fowler
| quartier : green coral ranch dans la partie sud, tu préfères squatter en ville quand t'arrives à gratter un canapé.
| activity : stagiaire pistonné au sein d'un cabinet d'avocats, tu bosses à mi-temps au café de l'autre commère pour "apprendre la valeur de l'argent". connerie.
| crush : tous les pauvres cons qui s'noient dans tes pupilles océan.
| crédits : riveuredamour, codychou.
drague à l'envers (swann) 82Y7b
| messages : 3748
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t237-swann-fowlerhttps://american-hologram.forumactif.com/t221-swann-fowler-simon-loofhttps://american-hologram.forumactif.com/t253-swann-fucker
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Sam 21 Mar - 19:30
JARED
&
SWANN
C'EST LUI QUI, LE PREMIER DEGUISANT SA MALICE, D'UN SEMBLANT DE VERTU SUT HABILLER LE VICE.

perdition au bord des doigts, t'as toi-même précipité le désordre, comme à chaque fois. une putain de mauvaise habitude. les opales se perdent un instant dans la contemplation de la langue qui lèche les babines tentatrices. geste imité, arrosoir arrosé.
la proximité gênante, la proximité désignée, soulignée, moquée. jared joue bien, jared est expérimenté. ta maîtrise qui vacille, le fil qui tremble sous la plante de tes pieds. l'équilibre menacé. le gamin brave le tabou, se montre plus clair, plus entreprenant, sous-entend que vos corps rapprochés pourraient susciter une contrariété. pas celle d'un autre pourtant, seulement la tienne.
jaloux d'quoi ? tu siffles, le mépris qui soulève le coin des lèvres comme pour dire.

jaloux d'toi, jared ?
y'a pas d'quoi, t'es qu'un g a m i n.
insignifiant.
qui partage un moment.
anodin.
jaloux d'toi, jared ?
y'a pas d'quoi, t'es qu'un a d o l e s c e n t.
trop confiant.
qui s'aventure sur un terrain.
trop glissant.

le détachement parfaitement simulé, comme lassé de la partie qui se déroule. c'est que t'as clairement identifié son jeu swann, le doute dissipé par ses gestes incitateurs, par ses mots provocateurs.
il détourne ton attention par les pions qui se couchent sur le plateau, fait semblant de courber l'échine. mais il tisse sa toile autre part, déploie des milliers de fils indistincts qui t'empêchent de respirer. étouffé par son regard doucereux, excité par la chaleur de son derme, charmé par l'innocence teintée du vice. il se dirige vers ton roi l'air de rien, l'opportunité des sacrifices soigneusement mesurée. deux parties qui se tiennent parallèlement, ta participation trop tardive à la seconde qui annonce l'échec et mat.
tu n'peux pas t'permettre de perdre swann, le corps qui commence à faiblir face à l'interdit, le cœur coupable qui s'affole de voir s'pointer ses parents. comme si t'avais déjà quelque chose à t'reprocher, comme s'il pouvaient profaner le secret de tes pensées les mieux dissimulées. tu préfères encore abandonner, le terme du match de hockey qui approche dangereusement.
alors tu restes immobile, refuses de prendre possession du verre qu'il te tend, poursuivre le divertissement dont t'as déjà tiré les leçons que tu voulais connaître.
tu peux l'garder, c'est c'que tu voulais non ? parce que t'es là que pour ça jared, pas vrai ? parce que si y'a pas d'adversaire, y'a plus de jeu. tu peux t'tirer maintenant. bye. le regard qui délaisse la contemplation du visage trop jeune pour se porter dans son dos. on n'sait pas vraiment c'que tu regardes swann, mais ça a l'air d'absorber toute ton attention, subitement.

CODAGE PAR AMIANTE


Please don’t expect me to always be good and kind and loving. There are times when I will be cold and thoughtless and hard to understand.
Revenir en haut Aller en bas
Jared Ortiz
admin — les doigts de fée tmtc
Jared Ortiz
| quartier : west side. Belle image cache la crasse misère des visages.
| activity : Âme égarée au lycée, de celles qui se laissent lentement couler (pourtant tu aurais pu toucher les étoiles, briller comme elles... Tu aurais pu avoir une destinée belle). Jared, surdoué aux rêves abandonnés, pauvre gamin écorché.
| crush : amoureux de tous les yeux (mais fidèle à aucun d'eux).
| crédits : ma mariée, gypsophile, lélu 2 mon keur. (a)
| couleur : celle de ton keur bae.

| messages : 4812
| RP : 0
https://american-hologram.forumactif.com/t120-jared-ortizhttps://american-hologram.forumactif.com/t114-jared-ortiz-joland-novajhttps://american-hologram.forumactif.com/t135-jared-a-fleur-de-peau
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Lun 30 Mar - 21:36

adolescence insolente,
sur ses grands airs,
de son âge, elle est prisonnière.
☾☾☾
( poème improvisé, de moi )

drague à l'envers (swann) Ua75Xmj7_o drague à l'envers (swann) OvsRyzWn_o
( @ Solsken )


Il a le cœur sur un fil,
le corps en déséquilibre.
Tu te délectes de cette partie d’échec. Si bien commencée (l’homme pense gagner - la vérité est que tu l’as devancé). Démon à ses pieds, la tentation sur ses joues,
vipère s’immisce autour de son cou (pour l’étrangler,
l’étrangler de cette séduction dévorante).
Insolent lorsque tu entreprends.
Lorsque tu poses des mots sur les silences,
lorsque les corps se rapprochent (cœur en transe)
lorsque tu décris les sous-entendus.

Le roi en échec.

Et la défensive arme son visage pour brouiller les images (toi tu continues de sourire - même lorsqu’il te regarde de haut, même lorsque que de tout son dédain,
il essaie de cacher le déséquilibre soudain).
Toi, tu gardes les mots en armes, le sourire pour victoire.
Même si tu perds ce soir,
tu sais que tu as gagné quelque part.
Tu ne quittes pas son regard.
L’adulte n’assume plus les échanges, te voit soudain comme l’adolescent (pourtant tu sais bien qu’il pensa autrement un instant - lorsqu’il a voulu te faire craquer,
lorsqu’il t’a tenu le poignet).
Lorsqu’il t’a parlé de ce il, un peu en retard : son cœur qui voulait provoquer ton regard.
L’adulte vient de réaliser que pour lui, la partie avait mal commencée.
Alors le rejet, son visage se teinte d’un air indifférent,
un peu moins charmant (tu préfères le voir hésitant,
le voir lutter, étouffant).
Autour de son cou, il desserre le corps de la vipère (mais ne crois pas, mon chou,
qu’elle n’a pas empoisonné tes veines
).
Alors lorsque tu lui rends le verre,
Monsieur te jette des mots précaires. (question froide, repoussante,
tu fronces légèrement les sourcils - et le voir soudain si en colère,
arme ton sourire d’un soudain rire).
Tu ne réponds rien,
attends simplement,
qu’il avoue son affaiblissement.

Le roi est en échec.

« tu peux t'tirer maintenant. bye. », tu pouffes légèrement, en reposant le verre sur le comptoir doucement, « tu peux le garder »,
les pupilles qui viennent le chercher,
« vois ça comme un petit souvenir », vois cela comme une énième insolence,
vois cela comme la réalisation de ton arrogance (toi qui donne à boire à un adolescent,
toi qui a voulu draguer un gamin innocent).
Car tu as appris une chose ces derniers temps :
les enfants n’ont jamais tord face aux grands.
« Passe une bonne fin de soirée ! » et le corps s’en va,
tu pars rejoindre tes parents, le sourire bien trop grand.
(oui tu sais que tu as gagné quelque part,
t’es presque persuadé de sentir son regard.)


i want war, but i need peace.
Revenir en haut Aller en bas
Contenu sponsorisé
Message
Re: drague à l'envers (swann)
   
Revenir en haut Aller en bas
 
drague à l'envers (swann)
Revenir en haut 
Page 1 sur 1
 Sujets similaires
-
» lampadaires || swann
» fowler me // SWANN
» SWANN + FUCKER
» SWANN FOWLER
» symphonie de pls en ré mineur | swann

Permission de ce forum:Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
-
Sauter vers:  
© AMERICAN HOLOGRAM | Optimisé sous Google Chrome.
Merci de respecter notre travail et celui de nos membres.

— ZONE STAFF —