— JO EAKIN || SONNY HALL —

Nom, prénom et surnom:
C'est Djo. C'est juste Djo.
Age, date et lieu de naissance: 22 années cassées. D é g l i n g u é e s. Né une belle journée d'été, sous les rayons d'un soleil couché. Un premier juillet 1998.
Activité et niveau d'études:
Pas de diplôme, rien pour payer ta rédemption - pas l’avenir, rien que de pauvres sourires.
Pas de diplôme, réputation d’un pauvre con. D’un crétin.
Là, au fond des écuries, autour des chevaux Fowler - c’est là qu’on t’oublie,
c’est là que tu meurs, à rendre les chevaux meilleurs, plus beaux que toi,
plus majestueux (tout ce que tu n’es pas).
C’est là qu’on t’oublie, là où parfois tu t’égares, là où t’écris.
Sorte de poèmes misérables - sortes de phrases bancales.
Poète (les rires moqueurs), poète minable (écrit la douleur de son cœur).
Parfois les doigts couverts de couleurs,
de peintures (raillerie dans les murmures).
Toi qui essaie de peindre les étoiles, mais elles sont moches tes toiles !
Tu tentes de les vendre (mais tu ferais mieux de te pendre ! - ahah, pauvre con !)
Jo… Arrête. Arrête... Y’a pas de rédemption.
Situation financière:
Que la m i s è r e.
Les dettes malgré l’arrêt des cigarettes (les dettes par milliers - comment tout rembourser ?)
Que la m i s è r e.
Inscrite sur ton visage (ton visage devenu trop sage).
Pourquoi tu souris ? Putain, Jo, tu vois pas ?
Tu vois pas que t’en as pour la vie ?
Souris pas! Pourquoi tu souris bordel ?!
T’es vraiment con.
T’as vraiment un pète à la cervelle.
Que la misère. Les désillusions.
Autour, que des abandons.
A Twadogs Hill depuis:
depuis trop longtemps. Depuis toujours.
Tu évolues autour de tous ces vautours.
Parti un jour,
pour te sauver,
pur c h a n g e r.
Et puis le retour.
Quartier habité: south natural park.
Petite caravane innocente,
avec la pauvreté envahissante.
Et puis un jour on viendra te la prendre parce que tu ne pourras plus payer les factures,
un jour on viendra te la prendre, elle, couverte de ta peinture. (comme un cadavre qu'on enterrera - ton cadavre).
Situation familiale:
Maman, j’te promets. On touchera les étoiles ensemble,
je t’en ferai un collier. Oh. Je tremble. - Maman.
Maman bloquée, p a r a l y s é e.
Maman parle plus, maman fait la gueule (passe la journée dans la chambre, seule).
Allongée, presque inerte, toutes les machines autour,
les dettes qui s’accumulent (bande de vautours).
Maman, j’te promets. On touchera les étoiles ensemble,
je te verrai enfin sourire,
je ferai tout pour te faire rire.
Oh, s’il te plait… Ta haine m’ébranle.
Statut civil et orientation :
Pas les questions qui se posent
(parait que tu t’en fous - parait que tu finiras seul, au fond du trou).
Célibat morose.
Pas les questions qu’on pose (même pas sûr que t’es vraiment humain -
on a peur que tu contamines de tes mains).
Mains sales.
Salies de poussières,
de la poudre que tu t’es sûrement enfilé hier.
La vérité c'est qu't'es qu'un gamin amoureux,
à rêver d'amour, à en prier les cieux.
La tête ailleurs, dans les étoiles,
la solitude au cœur, les yeux ternis de ce voile (tu les aimes tous -
et puis ils te répondent tous :
J’veux pas de toi, moi,
barre toi !
Drogué va.
Tu fais pitié.
Personne t’aimera,
j a m a i s !)

Ton avis à propos de la ville ? Tu l'as quitté un jour, tu la trahies. Parti. Parti que t'étais et on pensait que c'était pour la vie. On pensait que t'étais mort. Que ça y est, tu t'étais enfin détruit le corps, défoncé, explosé. Puis t'es revenu dans cette ville. Et avec elle, les rumeurs, les chuchotements vils. Elle a pas changé, la belle, et sûrement qu'elle sera toujours la même. Belle emmerdeuse, ville capricieuse.

Ta réputation selon toi ? T’es bizarre. Le garçon qui attire les mauvais regards. Le garçon vaurien (aux conneries délétères), celui qui sera sûrement plus là demain, m o r t, étouffé par l'écume vipère, les yeux inertes fixés sur la lune. Le garçon qui fait peur aux enfants (toi, gamin errant), le d r o g u é. Et puis c’est tout. Et puis ferme bien ta gueule. T’as arrêté que tu gueules, mais on s’en fout. On s’en fout, j’te dis. Les erreurs ça s’effacent pas, c’est pour la vie. Alors on s’en fout de tes sourires, de tes promesses. Qu’un drogué. Et on s’en fout si tu jures que tu as arrêté.

(trop) souriant ; (trop) gentil ; (trop) calme - (trop) poli ; timide ; (trop) dans la lune (c’est pas normal - tu te drogues encore. Putain. Avoue simplement merde !) ; (trop) faible ; (trop) renfermé ; (trop) naïf ; (trop) aimant.




Pseudo: nahash, votre djadja Âge: 19 ansMon personnage est un: inventéJ'ai pensé à envoyer ma face cachée au staff: j'm'en occupe tkt Qu'est-ce que je recherche sur ce forum: djo, l'amour mais me concernant le POUVOIR. autre chose ? je me dédouble enfin pour plus de tyrannie