| quartier : The west side, dans un appartement sans doute pas très attirant ou meublé, mais un canapé lui suffit dans le fond.
| activity : Mécanicien qu'a appris sur le tas au fil des années, surtout là pour réparer les motos mais fait bon gré mal gré avec les gros moteurs aussi.
| crush : En couple (asexuel svp) avec sa bécane au doux nom de Sigourney.
Nom, prénom et surnom: Harvey, Gabriel, surnommé par tous Chunk. Age, date et lieu de naissance: 50 balais au compteur, né dans le coin un 26 octobre, parti pour mieux revenir. Activité et niveau d'études: Mécanicien et pour les études, encore aurait-il fallu en faire. Parti dès ses seize piges du lycée, devenu militaire à une époque où on pouvait s'engager avant d'avoir le droit de votes. Chair idéale pour eux, car prête à être gangrenée de leurs patriotisme. Situation financière: Pas vraiment excellente, mais pas tellement merdique non plus. Il a encore de la thunes de l'époque de l'armée qu'il a pas claqué et dans laquelle il pioche rarement. A Twadogs Hill depuis: Toujours pratiquement, revenu réellement depuis presque deux ans. Quartier habité:The west side, malgré un bout de terrain du côté du South Natural Park. Il préfère payer le loyer d'un appartement plutôt que de vivre dans la maison décrépie dont il a hérité y'a bien longtemps de cela. Situation familiale: Pour de bon orphelin depuis 9 ans, il reste que lui et un faux frère, pas de sang, mais d'âme. Ça lui suffit largement, même s'ils partageront jamais le même nom. Statut civil et orientation : Célibataire à jamais, pas décidé à partager un jour le nom de sa pute de père. Pas déconstruit, le Chunk, les mots durs et beaucoup de putophobie dans la bouche. Entre autres. Pour le reste, l'Amérique le veut hétéro parce que la terre de liberté n'en propose finalement aucune et sur ses "enfants", elle crache sans vergogne. Alors il se pose pas de question parce qu'il n'aime pas qu'on veuille le mettre à terre.
leave me alone
Ton avis à propos de la ville ?
Tout est morne, trop tranquille. L'impression d'être de nouveau adolescent, à faire ce boulot qui me plaît pas tellement mais qui permet de se nourrir, de payer l'alcool. Y'a comme un truc dans cette ville qui me dérange, qui me démange. Mais c'est trop tôt encore pour savoir si ça valait le coup de revenir, si j'étais finalement bien assez fort pour cette ville à la con. Je sais même pas pourquoi j'ai pris mes cliques et mes claques pour débarquer ici, mais je suis bien décidé à pas le laisser me bouffer.
Ta réputation selon toi ?
Mauvaise sans nulle doute. Pour ceux que ça intéressera. Allez savoir ce qu'ils peuvent bien se dire, je m'en fous en toute franchise. Mais sans doute que ça parle des fois où l'alcool me monte à la tronche et que ma hargne prennent le dessus. Sans doute qu'on me pense alcoolique et franchement, ils ont pas si tord. J'ai vaguement entendu parler d'histoire de gangs, que j'imagine liée aux cicatrices. Une chose est sûre, c'est que si on dit de moi que je suis qu'un connard alors franchement, je peux que leur dire qu'ils ont raison.
le caractère
Je suis le genre de connard que tu veux pas dans ta cour de récré. Je suis le genre de type a qui tu collerais bien des baffes mais qui te donne l'impression que tu pourrais te briser les doigts contre ma mâchoire. Je suis le genre de mec qui peut faire fantasmer les gonzesses avec mes airs de méchant garçon. Sauf que tu vois, elles apprennent vite que c'est pas que des airs, que j'en ai à peu près autant à foutre d'elle que de ma première chemise. Et encore, elle a sans doute eu plus d'importance qu'elle mais comme pour tout : j'oublie et j'avance. Je suis le genre d'ordure qui te brise les reins, le cœur et les os quand tu l'échauffes trop. Le genre qui aime la violence tout autant qu'elle l'apprécie, parce qu'elle permet de passer le temps et surtout de se sentir vivant. Le genre qui aime boire comme un trou, s'imbiber jusqu'à puer l'alcool par tous les pores, qui a le sourire qui dévie en coin et le rire rendu un peu plus gras quand je me sens bien.
Je bois pour sentir la chaleur monter, pour l'ivresse, pour sentir mes phalanges s'ouvrir sur la gueule d'un autre connard avant que l'adrénaline monte un peu plus en flèche quand il m'atteindra à son tour d'un coup. Les marques et cicatrices, je m'en contre-carre, suffit de me voir ma gueule déjà pour le comprendre. Si ça te met mal à l'aise, alors ça me fait plaisir, t'imagines même pas à quel point. Je me gausse de toi tout en te crachant aux pieds, je te provoque sans vergogne, je suis l'impoli qui t'insulte pour le plaisir de te voir t'offusquer et oser rien faire. Ceux qui portent leurs couilles ont le droit à du respect de ma part. Mais faut pas se leurrer, ça sera pas grand-chose, parce que j'en ai bien plus pour moi que pour le reste de la terre entière. Et sachant que j'sais ce que je vaux, d'à quel point je suis qu'une sous-merde que la société a entretenue avec soin, tu te doutes d'à quel point je me fous de ta gueule au final. Fais tes preuves et on en reparlera.
Et je te souris, toujours, ce putain de sourire en coin, celui qui soulève les cicatrices que j'ai de part en part, juste pour le plaisir de me rendre plus moche, plus viscéral aussi. Parce que t'es obligé de porter ton regard dessus au moins une fois et que je sais que cette putain de question de savoir ce qu'il s'est passé, tu vas te la poser. Et peut-être que tu oseras pas me questionner à ce sujet et dans ce cas-là, je vais m'esclaffer comme l'enflure que je suis. Et je te soufflerais ma fumée à la gueule, pour le plaisir de t'entendre tousser peut-être, ou le plaisir de te voir grimacer. Parce que j'adore déranger ton existence, que j'aime te rappeler à quel point t'es qu'un putain de lâche, que t'as oublié tes couilles à l'entrée. J'aime te faire du mal, j'adore en rire, j'adore tout ce qui vous fait honte, tout ce qui vous pousse à rougir. Parce que je rougis jamais, parce que je m'en fous bien de vos avis, que rien ne me fera plus plaisir que de vous voir croire que je vais vous répondre sérieusement. Faut pas croire, il m'arrive de l'être, sérieux, mais en général, c'est pas quand je vais être sympa, en général, c'est quand tu vas bientôt voir noir et qu'il te faudra compter tes dents à la sortie.
En résumé ? Je suis pas un type sympa. C'est tout ce que tu as besoin de retenir, le reste te regarde pas, parce que tu résisteras rarement assez à ce que je dégage, à ce que je peux faire pour te briser moralement, au travers de mes coups, pour connaître celui sous Chunk. T'auras pas la patience de passer outre ça. De toute manière, tu finirais de te barrer là parce qu'il vaut pas le coup non plus, Gabriel. Tu sauras jamais que c'est moi que je vise à travers ceux-ci, tu sauras jamais qu'il y a des gens qui comptent pour moi, putain. Et si tu l'évoques au détour d'une conversation, je te jure que je te crache dessus tout en te défonçant la gueule jusqu'à ce que tu puisses plus jamais te relever ou que ta propre mère ne puisse plus te reconnaître. Et crois moi que tu veux pas le retour de bâton, tu veux pas que je vienne te signifier ce que c'est, quand je suis véritablement en colère, tu veux pas voir ton sang coller à mes phalanges, celles qui se seront encore ouvertes à force de défoncer des cons dans ton genre qui ont voulu faire les beaux pour mieux niquer ensuite.
Il y a aussi tout ce qu'il ne dira pas, tout ce qu'il ne comprend pas lui-même. Il ne raconte pas les cauchemars la nuit, il ne dit pas les horreurs qui hante le dessous des paupières, des visions qui reviennent le réveiller. Chunk, il ne dit pas qu'il a de l'humour mais on le devine au travers des surnoms qu'il donne aux gens, et puis sa façon de rire est de celle trop noir pour certains. Il a l'humour qu'on façonne à force d'horreurs, pour les tourner en dérision, pour savoir en rire plutôt que d'en pleurer. Et puis, ça fait longtemps qu'il ne sait plus faire ce dernier, que le corps pleure pour lui, au travers des sueurs qui le parcourent parfois, alors qu'il dort en ayant pas assez bu. Chunk se cache de l'Humanité parce qu'il a peur d'en être, il préfère dire qu'il est le monstre dans le placard ou sous le lit, pour qu'on ne cherche pas plus loin, pour qu'on croit les horreurs qu'on raconte, pour qu'on le pense démon plutôt que simple humain. Ça lui va bien et en même temps non. Il ne sait pas grand chose, finalement, même après presque cinquante ans de vie. Il est le cabot qui aboie sur le côté de la route pour qu'on le pense sauvage, qu'on n'approche pas, qui montre le pire de lui-même pour qu'on se dise qu'il n'y a que ça. Une armure de fer qui s'écroule bien assez vite, une fois seul face à l'alcool, face à sa vie. Il ne raconte pas les traumatismes qui font suer la nuit, il ne raconte pas les peurs, les souvenirs. Il ne raconte pas l'ivresse qui fait tourner la tête jusqu'à s'écrouler sur le canapé, les douches souvent froides, les guerres. Il se contente de survoler pour qu'on ne le devine pas, pour qu'on ne comprenne pas ce qui l'anime. S'il ne montre aucune faiblesse, on ne peut l'atteindre. Il se contente de vivre une vie à côté d'autres, pas avec. Il ne parle pas des angoisses qui flétrissent son cœur, des poings qu'il abat parfois pour se sentir vivre, pour sentir son cœur exploser de l'adrénaline qu'il s'injecte à travers les coups. Chunk, il garde tellement de choses pour lui, pour qu'on ne voit jamais Gabriel, l'ange d'une personne. Et surtout, surtout, Chunk... Il parle jamais de ses rêves.
Derrière l'écran
Pseudo: Goner. Âge: Error 404. Mon personnage est un: Inventé. J'ai pensé à envoyer ma face cachée au staff: Oui ! Qu'est-ce que je recherche sur ce forum: En vrai ? Aucune idée. Je lorgne sur le forum depuis l'ouverture et puis, Chunk me manquait terriblement, puis j'ai craqué alors me voilà. J'espère qu'il trouvera sa place ici. autre chose ? J'ai peur, me mangez pas, d'accord ?
feat. tommy flanagan || crédits: VOCIVUS (avatar), doom days (icons)
Les doigts qui semblent prêts à se briser, contre la porte d'un appartement que j'aurais jamais cru visiter un jour. De l'autre côté de ce bout de bois malingre, y'a une partie de moi que j'aurais jamais voulu voir. Un morceau d'ADN, perdu pendant longtemps dans la nature. Moi qui m'inquiétais plus du sang qui me coule dans les veines, y'a eu cet appel, terriblement trop violent pour mon envie de disparaître.
"Gabriel, tu es père."
Non. Gabriel, il est rien.
J'ai eu envie de lui répondre ça, à ta mère. J'ai juste eu les jambes sciées sur place et aucun alcool assez fort pour encaisser correctement la nouvelle. Je sais qu'elle ne plaisantait pas. Elle rigolerait jamais sur ce genre de conneries parce qu'elle me connaissait déjà bien trop à l'époque, quand j'avais vingt-cinq piges, le monde encore à conquérir et les envies absentes. Pourquoi faire, dis-moi ?
"Fonder une famille ? Jamais. - C'est dommage, t'as un sourire qui vaut le coup. - Un sourire, ça suffit pas."
D'autant plus aujourd'hui.
Je nous revois à la moitié de ma vie, vautré l'un contre l'autre, à te concevoir sans en avoir conscience. J'étais jeune et insouciant, loin de savoir me procurer un préservatif dans cette période de ma vie. On avait la naïveté de se dire que si je me retirais avant de jouir, ça irait. Faut croire que non. Putain de désillusion.
"T'es sûre que... - Y'avait que toi pour moi, à cette période."
Sauf que y'a jamais eu personne, pour moi.
Alors j'ai finalement pas frappé.
[...]
La chair est cisaillée, vulgaire haie qu'on taille, dans un rire gras, tandis que le soldat se débat par réflexe, que le corps se tend, dans l'espoir d'échapper à ce qu'il lui arrive. Un hurlement finalement, quand il sent la chair du visage se faire fendre. Ce n'est pas aussi facile que ça en l'air. Et pourtant, il a cette sensation d'être comme du beurre, si facile à couper en deux. Et quand il hurle, il sent que ça empire. Mais c'est impossible de garder la bouche close, face à la douleur. La sueur revient, destructrice. Le sang afflue, chaud, se mêle à la poussière qui règne sur la peau. Et quand il est relâché à terre, prêt de ses camarades, qu'il tremble et vient à mettre ses pognes sur la plaie béante, comme pour tenter de ressouder les chairs, on lui dit. On lui dit que demain, ils feront l'autre joue aussi. "À demain, Colonel Gabriel..." Un rire gras encore, tandis qu'un autre soldat se traîne près de lui, pour lui dire qu'ils se vengeront. Ils n'ont jamais pu se venger.
[...]
Une décennie, qui est tombée à coup de gouttes dans l'évier. Petit à petit, faisant ce bruit sourd contre le métal. Spécifique. Juste ce qu'il faut pour éprouver la patience tout en la faisant évoluer vers tout autre chose. Une forme de résignation, quand sur le papier on lit que l'autre veut pas nous voir. Et qu'on comprend, dans le fond. Parce que pas te voir pendant dix ans, c'était aussi te cacher la vérité amère et trop crue. Te cacher la gueule qu'on a prise pour du lardon bien trop facilement. C'était te cacher des angoisses nées sans toi, face à ce connard qui nous as tué pour une seconde fois. Lui et son briquet bien trop moderne, bien trop américain. Des principes qu'ils clament mais sur lesquelles ils pissent pour s'allumer une clope. Parce que les briquets, c'est plus pratique qu'une foutue allumette, ouais. Et il m'a regardé en souriant, alors que j'avais déjà la gueule défaite, déjà une joue barrée de conneries, à pisser le sang comme des larmes trop salées que je pouvais plus offrir. Et je me souviens encore de tout, tu sais. Je me rappelle de la lueur contre ses traits flous, en arrière-fond de la scène principale. De ta gueule que le noir a graillée, au milieu de l'orangé. C'était comme un coucher de soleil, tu vois. Comme si on venait de tirer à ma place un trait sur tout ça. Comme si on me disait de faire mon deuil. Et la photo a disparu, me rappelant que trop cruellement qu'on était déjà plus rien. S'il avait pu, il l'aurait recramée un millier de fois. Parce que parmi tout ce qu'ils avaient pu faire, je crois que c'est là où on m'a vu le plus brisé. Et j'ai pas su l'accepter.
[...]
Peut-être que la réponse fait un brin mal. Peut-être qu'il aurait pas dû demander s'il voulait qu'il reste désormais. Peut-être qu'il s'y attendait pas, à ce "je sais pas" qui le percute et le renverse, lui met un coup dans ce poitrail qui porte peut-être plus le type en face que lui ne portera jamais Gab dans le sien. Mais il en dit rien le cabot, change rien dans son attitude. Parce qu'il a l'habitude des coups de canifs dans le coeur, que son père l'a déjà bien assez esquinté pour qu'il sache comment cacher les blessures quand elles surviennent. Il a beaucoup de cette masculinité toxique Chunk, estime que ses plaies sont à garder pour lui seul et ainsi, enquille sans rien montrer. Peut-être que c'est ça qui le fera repartir sur les routes, dans peu de temps, avec son cuir comme seul bagage ou presque. Peut-être que c'est ce "je sais pas" qui lui a laissé penser qu'il avait rien réussi à construire d'assez fort ici pour persister et rester. Il pouvait pas deviner, Gab, qu'il s'était fait une place dans cette ville à la con. Qu'il aurait pu rester et continuer de construire, parce que les fondations étaient présentes. N'a vu qu le béton tomber à ses pieds, n'a vu que les briques fracassées, pas vu que c'était le haut qui s'était juste pété. N'a regardé que les miettes, à cet instant. C'est comme s'il avait plus de coeur à cet instant, parce que ça sert à rien d'en avoir un, que ça fait juste mal, tellement mal, d'être humain. Alors le cabot revêt sa peau dure comme du cuir, du même qu'il porte sur lui, de ce vieux chien qui marche le long des routes sans regarder les voitures qui s'arrêtent parfois, qu'aboie pour se la jouer fier, qui demeure seul. "Ok." Qu'il marmonne, Gabriel, avant que le moteur ne ronronne et parle pour deux. Parce qu'il est comme ça aussi, Gab, que c'est sa bécane qui s'exprime pour lui. Qu'elle hurle sa solitude au travers des vrombissements, qu'elle montre toutes les plaies sous le cuir de ce foutu vieux cabot, au travers de l'usure de ses pneus. Parce que depuis des années, il a jamais su s'arrêter. Et qu'il a juste tenté ici, une halte dans cette course effrénée, pour se persuader au final que c'était pas fait pour lui, de tenter de se faire des racines.
Parce qu'on sait pas, parfois. Parce qu'on croit mal, des fois. Parce que ça fait mal, en fait.
O L D D O G
Dernière édition par Gabriel Harvey le Mar 9 Juin - 7:36, édité 7 fois
Swann Fowler
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
Sam 6 Juin - 22:08
ok. je suis. sciée. c'est de toute beauté cette fiche, je suis choquée enfin pas tant que ça car j'imaginais bien que t'allais nous pondre qq chose de délicieux, mais là blblblbl mes feels ont pulsé. BIENVENUE officiellement. j'adore ce perso, cette plume.
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
Sam 6 Juin - 22:20
ok j't'ai loupé dans la partie invité mais omg. je suis subjuguée. euh cette fiche, ce personnage, cet avatar, tout, absolument tout. genre jpp. genre. kaudi alaid stp ?
j'ai chialé, ce perso envoie du lourd, ce perso est parfait
bienvenue parmi nous
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
Dim 7 Juin - 23:03
ce personnage. officiellement bienvenue avec cette pépite !
Jared Ortiz
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| crush : amoureux de tous les yeux (mais fidèle à aucun d'eux).
bon comme dit, j'étais grave emballée par tes idées et l'avatar dans l'espace invité et que vois-je ? une fiche complètement remplie mon petit doigt me dit que c'est mué qui te te valider alors je vais m'en garder un peu en tout cas ça fait trop plaisir de voir que tu regardais le fo depuis son ouverture (t'as grave attendu avant de débarquer ouesh )
euh wow ptn la rédaction du caractère c'est une histoire en elle-même jpp c'est tellement beau olala
j'aimerai bien qu'on se trouve un lien avec jo, je me demande ce que ça pourrait donner mais j'aime trop trop au début je me disais "un sombre connard comme on les aime" puis en fait gabriel c'est clairement plus que ça et moi je jolem bcp wesh
ptn je me retiens de lire l'histoire sofhugdv j'ai hâte de te valider, j'espère que tu peaufineras tous les petits liens proposés dans les invités en tout cas te lire m'a arraché tous les mots que je pouvais avoir, c'était intense, ça donne envie d'en savoir plus bref, une pépite ce personnage, ça je peux l'assurer. bienvenue chez toi
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
Lun 8 Juin - 20:05
OK... Genre on a une fournée de nouveaux venants complètement géniaux ? :dead: J'adore réellement ton personnage et l'histoire qui a fait de lui ce qu'il est aujourd'hui, c'est juste tellement brut et beau à la fois. Je suis sans voix
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
Lun 8 Juin - 20:29
TOMMY FLANAGAN j'fais rarement ma biatch concernant l'avatar mais t'es arrivé comme un bulldozer. puis ta fiche. ta fiche. ta fiche? t'écris grv bien en plus like wow. si t'es opé pour tout ou rien j'veux un rp. #teamgabi
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
Lun 8 Juin - 21:05
j'adore ce personnage. point. omg. j'adore cette plume aussi c'est pas possible. il me fait penser au mien, j'pense qu'Andreas l'admire déjà parce qu'il fonctionne un peu pareil (ça provoque, ça tape, ça se moque, ça se marre)
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
Lun 8 Juin - 21:20
Un bijou ce personnage cette gueule, cette histoire, cette plume omg. Bienvenue parmi nous
Gabriel Harvey
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Merci BEAUCOUP tout le monde !! Cette avalanche de mots doux, oh la la, vous me faites trop chaud au coeur. J'avais tellement la frousse qu'il fasse peur ou quoi et finalement vous êtes grave des chouquettes, merci de ouf pour cet accueil de folie !! Vous êtes tellement que j'ose pas vous taguer tous omg, mais merci vraiment hein !! Mais je suis chaud pour rp avec tout le monde, j'espère que Chunk saura vous charmer aussi inRP, c'est tellement un de mes bébés et je suis trop content qu'il retrouve vie ici, vous imaginez pas à quel point. (Et ouais, King Flanagan, j'aime tellement grapher dessus ou le dessiner, un vrai bonheur ! ) Et euuuh, désolé pour le temps mis avant de venir ici, je préférais être tout bien dans ma tête avant de me lancer dans le forum, j'avais pas envie de déserter potentiellement à un moment parce que l'IRL, tout ça ! C'est chiant d'être adulte parfois. (Maintenant vous allez m'avoir accroché tel un bb koala à sa mère, j'espère que vous êtes prêts ! )
De l'amour sur vos paupières tout le monde ! Prenez soin de vous et on se dit à très vite du coup !
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
Mar 9 Juin - 17:45
mais cette plume ? et ce personnage ? je suis grave fan, bienvenue par ici
Jared Ortiz
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je reviens étaler mon amour pour gabriel déjà que la première partie m'avait plu, je suis toute excitée de lui la suite ldbugfjxhvf outch la gifle qu'elle m'a donné ton histoire je je suis encore plus amoureuse de ton perso, si c'est possible j'aime les persos torturés et puis là, tout est si joliment dit, si bien narré, je encore une fois j'en perds les mots mdr genre jsp quoi dire si ce n'est que, c'est parfait ? l'histoire, le personnage en lui-même juste woah c'est un magnifique personnage que tu nous livres et je veux le voir évoluer parmi nous, jveux ne serait-ce que fissurer sa grosse carapace, parce que gabriel c'est pas un connard, c'est un homme qui a trop vu la violence au point où il l'a pris comme couverture et puis la fc ptn stop olala j'ai envie de le hug même s'il est quand même super intimidant dfuhsvfdhrv bref je vais m'arrêter là sinon je vais faire que me répéter éblouis nous de ta plume, poses tes valises à côté des notres et puis pars jamais
Bienvenue officiellement sur American Hologram ! Te voilà désormais prêt.e à vivre comme un authentique américain de l'Idaho ! Avant de te lancer pleinement dans l'aventure, pense néanmoins à bien remplir ton profil (sans oublier d'activer ta fiche Role-play) et surtout, t'inscrire dans les listings du forum. A présent, il ne te restera plus qu'à te faire de nouveaux amis et te lancer dans le grand bain ! D'ailleurs, si tu es un vrai, c'est direct un RP libre que tu vas lancer, non ?
Si tu as besoin de quoique ce soit, le staff est là pour toi !
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Re: GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
GABRIEL HARVEY || TOMMY FLANAGAN
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