— RANDY MCCARTHY || NORMAN REEDUS —

Nom, prénom et surnom: Randy Arthur James MacCarthy. On sent le dilemme entre la mère catholique qui veut quelque chose de sérieux et respectacle, et papa qui a trempé sa biscotte bien avant de prononcer les voeux. Randy donc, qui se suffit bien, parce qu'en général les surnoms tournent plus autour de asshole, idiot, dick et autres noms d'oiseaux. Et putain, quand on connait Randy, on s'y connait en ornythologie. C'est plutôt lui qui donne les surnoms, le type à mettre à l'aise dès le début ou crisper, inversement. Son détecteur à tapette qu'il dit, avant de se couvrir la bouche et s'excuser silencieusement Chassez les mauvaises habitudes et elles vous reviennent en pleines gueule comme une bonne femme qu'on a cocu.Age, date et lieu de naissance: Il est comme le bon vin, il prend du goût avec l'âge. Son crû serait un bon pinot de  1966, à trois ans prêt du sacro saint 69, saveur des seventies quand on y trempe les lèvres, mais les eighties qui explosent en bouche. Les cheveux gras qui retombent sur le visage,  la dégaine du baroudeur, la veste en cuir même en été avec l'aigle, bandana oncle sam. Ca hurle america fuck yeah. Il va fêter ses cinquante-quatre ans cette année, ce sera le 12 décembre.Activité et niveau d'études:Pas une lumière, Randy, mais au moins c'est un soleil, une pile éléctrique, un éclair foudroyant. Les parents ça se dit toujours qe le gosse fera des grandes études, que ça va devenir avocat, que ça rapportera plein de fric et paiera la retraite. Puis à vingt-et-an, sans diplôme, fiston claque la porte de la maison avec assez de force pour faire pêter les gonds, il visse son cul sur sa moto et il ne se retourne pas. Il n'y retourne pas quand papa passe l'arme a gauche, ni quand elle gueule a qui veut l'entendre qu'il est plus son fils, qu'il aura pas l'héritage. Il change de trottoir s'il faut se croiser parce que c'est trop petit pour faire semblant et à ce point, tout le monde sait que le petit Randy a déraillé. Il plonge les mains dans le cambouis. Apprend tout seul à se débrouiller, prend quelques dérouillés, trouve un taff à une époque où ce qui comptait encore, c'était le savoir-faire et un petit pétard. Randy est chirurgien des caisses, dans les entrailles des bêtes qui sentent le pétrole et l'acier humide, mécano, dans sa petite entreprise avec ses apprentis, celle a qui le grand garage fait de l'ombre. Il aurait pu faire pilote de course si vraiment il avait pourchassé ses rêves, mais parfois le rêve d'une vie c'est de la vivre tout simplement. Et cette vie là, impossible de la remplacer, de troquer les bons moments, des putains de bbq qui durent jusqu'à ce que le dernier debout ramasse les bières des autres. Situation financière: Non, Randy roule pas sur l'or, il est riche de l'intérieur à ce qu'il paraît, les couilles encore pleines. Les affaires marchent et marcheront toujours, c'est le lot des petits bleds où tout le monde se connait, y aura toujours du taff tant qu'il filera un coup de patte à untel, qui connait machin, qui fera venir truc. Le crédit de la bicoque est remboursé, pas de gosse à charge, mais il a lui même. Ivrogne de service, tout part dans la boisson, dans les clubs, dans les sorties, dans les conneries. Quand c'est pas ça, c'est les cartouches et les flingues, ses petits bébés. Pas encore arrivé aux putes, il garde la face, s'il veut draguer il met son plus beau slip et va danser. A Twadogs Hill depuis: Toujours, c'est aussi simple que cela, et il compte bien y crever. Même si on voulait le faire dégager, ce serait pas possible, parce que la moitié de la ville part avec lui. C'est sa ville. Il aime pas voir des nouvelles gueules, il grogne sur ces couples de jeunes, ceux qui veulent moderniser tout ça, les petits investisseurs de la génétation face-de-bouc, amstramgram, tok tok et you-teub. Twadogs Hill tu l'aimes ou tu la quittes. Quartier habité: A deux pas du boulot pour arriver à s'y trainer le lundi matin quand il voit double, parce qu'il a plus de permis depuis longtemps, qu'on le tolère juste avec sa bécane sinon il se met à gueuler trop fort. West Side, Story tous les week-ends quand ça grille des saucisses en prenant des nouvelles de tout le monde, ramener la blonde hebdomadaire et lui faire se demander dans quel merdier elle s'est encore foutue. Situation familiale: Sa famille, c'est Walter, c'est le tic de son tac, c'est sa couille droite à celle qu'est à gauche, le concept est clair. Son père est mort y a longtemps, il est jamais allé sur la tombe, il l'a laissé crever comme un rat parce que c'est ce qu'il est. Il a pas marié la bonne, pas réussi à avoir de beaux mioches et parofis on se dit que mieux comme ça, rien qu'à voir sa gueule. Ca l'empêche pas de sentir comme un oncle gâteau et se préparer à faire un arrêt si on doit lui dire qu'il va devenir pépé.  Statut civil et orientation : Honnêtement, il s'est marié à sa moto, ses bières, les gros seins et Walter. Mais surtout Walter. Le reste c'était de la connerie, divorcé trois fois, ça donne le ton. Il connait presque toutes les nanas et il toutes essayé de ses les faire, celles où c'est pas
considéré comme de l'inceste. Y a prescription pour les troisièmes degrès. Randy est un queutard professionnel, son talent c'est de citer les catégories pornhub dans l'ordre alphabétique, même s'il regarde pas tout, parce que faut pas déconner, c'est pas un pd. Il chasse la donzelle, il s'enchaine les pétasses comme il enfile ses saucisses sur la barceuc. En deux temps trois mouvements, jouissance éclair. Réputation oblige, il a les airs du métalleux, dur à l'extérieur surtout au sud et doux à l'intérieur, qui en parle beaucoup pour au final se contenter d'un petit missionnaire.

Ton avis à propos de la ville ? Quand on a connu qu'un clocher, c'est toujours le plus beau. Il a pas beaucoup voyagé Randy, il est parti quelque smois sur les routes, mais tout ce qu'il a vu du reste de l'Amerique c'est les documentaires chocs, ceux sur les aliens de la zone 51, ceux sur les ovnis et les tueurs en sérieus, is le reste du bitume à perte de vie. Alors Twagods c'est le sang de la veine, il y a passe les trois quart de l'année, partir en vacance c'est se briser le coeur à chaque fois. Il aime tellement sa ville qu'il veut la protéger des dangereux envahisseurs, qu'il a l'oeil mauvais si un étranger s'approche trop de sa pelouse.

Ta réputation selon toi ? Merde, là dessus il doit bien l'admettre Randy, il doit pas briller en société. C'est pas ses blagues à se taper le cul par terre qui l'ont rendu célèbre, c'est sa dégaine. Il a commencé comme le marginal croisé redneck, il a bien essayé de s'intégrer avec des motards mais les rituels cheums et embrasser sa soeur mouais. Ceux qui l'ont pas vu depuis un moment peuvent penser qu'il est sataniste. C'est parce qu'il s'est adouci qu'on doit dire de Randy qu'il est pas méchant mais qu'il faut pas l'approcher quand on a un vagin, qu'il faut se pincer le nez parce qu'il pue -juste un peu- de la gueule. Le pire c'est les meufs, celle que le mâle alpha attire pas, ça crache sur son dos comme les alpagas - ou les lamas machin. M'enfin, les gens diront en le pointain du doigt que c'est le numéro a appeller quand y a un soucis, c'est le type plus loyal qu'un berger allemand qui sera toujours là pour son pote et sa famille. Il est persuadé que y en a qui croient vraiment qu'ils sont frères ou une connerie du genre. Y en a sans doute qui disent qu'il est un déchet et qu'il fait honte. Bah, qu'ils parlent, il ira leur crever les pneus.

Randy c'est surtout un beauf, ça résume bien la situation. C'est à dire qu'il est cool quand il veut, il peut être marrant, il va pas comprendre les memes, mais il va rire gras et pour un gosse de la génération z, il peut même être un super pote. Faut juste bien comprendre qu'il est premier degrès, qu'il préfère quand même les ménagères et juste foutre ses pieds sous la table. Il a été élevé dans ce genre d'ambiance, c'est le bon vieux temps, le peace and love, surtout le love. Randy il a un problème avec le cul, c'est juste qu'aller voir un psy c'est trop un truc de bonne femme. Et c'est bien parce qu'il se sent concerné qu'il se calme sur son homophobie notoire, celle qui fait fantasmer sur les lesbiennes mais deux types qui s'embrassent quelle horreur, tant qu'il est pas concerné ça le dérange pas. Pis l'amour c'est l'amour et Randy c'est l'amour. C'est le romantisme à deux balles, la galanterie à s'en étouffer, tellement que c'est juste ridicule. Y a d'autres tâches sur le tableau, parce qu'il fronce toujours un sourcil face à un type qu'est pas tout blanc. Qu'il aime pas vraiment ce qui ne lui ressemble pas. Randy n'est pas mauvais, il ferait pas de mal à une mouche sauf si la bouche elle vient pondre ses oeufs sur ceux qu'il aime. La il l'éclate, sale, le genre qui laisse une bonne trace sur le carreau. Avec ses gros flingues il tire à peine le pigeon, faudrait déjà savoir viser. C'est juste le plaisir de fabriquer ses munitions et jouer avec l'allégorie de sa bite en version métalisée et mortelle. C'est qu'un cliché qui fait mal au cerveau.



Pseudo: Red. Âge: Majeure+1 soon.  Mon personnage est un: scénario de @walter eakin (bro ça fonctionnait pas j'ai pas compris ???)J'ai pensé à envoyer ma face cachée au staff: C'est fait ! Qu'est-ce que je recherche sur ce forum: Du fun, me changer les idées et puis construire des liens amusants et feelsant, pourquoi pas rencontrer de nouveaux gens fous   .  autre chose ? Si Freddie Mercury était un coiffeur, il aurait écrit "We are the Shampoo".